Jai envie de comprendreLa dépression par Guido Bondolfi - Suzy Soumaille aux éditions . Affection redoutable, le nuage noir de la dépression envahit les moind
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Jai envie de comprendre La dépression - Guido Bondolfi, Suzy Soumaille, Gilles Bertschy - Affection redoutable, le nuage noir de la dépression envahit les moindres recoins de la pensée et du corps, parfois jusqu’à étouffer l’envie de vivre.
Jai envie de comprendre la dépressionLivre d'occasion écrit par Suzy Soumailleparu en 2012 aux éditions Medecine & Hygiene.Code ISBN / . Livraison à partir d'1,99€ seulement sur les univers Déco Loisirs !
Résumé Nombre de déprimés auraient préféré se casser les deux jambes plutôt que d'affronter les tourments de la dépression. Affection redoutable, le nuage noir de la dépression envahit les moindres recoins de la pensée et
Jai envie de comprendre LA DÉPRESSION. J'ai envie de comprendre LA DÉPRESSION. L'offre est terminée | 1 janv. 2022 à 19:10. Prix de vente. 6.90. Ajouter aux favoris. Livraison. Lettre courrier B, CHF 1.10. Vendeur. Cockattoo. 99.8%. Partager
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ONR9Y. Nous utilisons les cookies pour vous offrir une meilleure expérience utilisateur. Pour se conformer à la nouvelle directive concernant la vie privée, nous devons vous demander votre consentement pour sauvegarder des cookies sur votre ordinateur. En savoir plus. Basculer la navigation J'AI ENVIE DE COMPRENDRE... LA DEPRESSION ED. 2012 par Soumaille Suzy Bondolfi Guido Bertschy Gilles J'AI ENVIE DE COMPRENDRE... LA DEPRESSION ED. 2012 Nombre de déprimés auraient préféré se casser les deux jambes plutôt que d’affronter les tourments de la dépression. Résumé du livre - J'ai envie de comprendre... La dépression Nombre de déprimés auraient préféré se casser les deux jambes plutôt que d’affronter les tourments de la dépression. Affection redoutable, le nuage noir de la dépression envahit les moindres recoins de la pensée et du corps, parfois jusqu’à étouffer l’envie de vivre. Au cours de leur vie, une femme sur cinq et un homme sur dix vont en faire la douloureuse expérience. Le poids de la dépression ne cesse d’augmenter, selon l’OMS, elle occupera en 2020 le deuxième rang des maladies avec le taux d’incapacité le plus élevé. Connaître sa maladie est le premier pas pour sortir du tunnel dépressif. Symptômes, diagnostic, traitements, prévention des rechutes… avec ses dix chapitres pratiques et faciles d’accès, ce livre accompagne le patient sur le long chemin qui le mène vers la guérison et l’informe de manière complète, lui permettant ainsi d’être actif dans les soins. Cet ouvrage est aussi une aide pour les proches qui sont en première ligne aux côtés de la personne dépressive. Tiraillés entre l’envie de la réconforter et de la secouer, ils sont guettés par le sentiment d’impuissance et l’épuisement. En s’informant sur sa maladie, l’entourage peut ainsi mieux soutenir le déprimé sur la durée, sans sombrer avec lui. Cette nouvelle édition, entièrement mise à jour, est le premier volume de la série J’ai envie de comprendre...». À propos des Suzy Soumaille est journaliste médicale, auteure de "J'ai envie de comprendre les allergies" et de "J'ai envie de comprendre la dépendance au tabac" aux éditions Médecine et Hygiène. Responsable du service de la communication patients et usagers et rédactrices en chef du magazine pulsations aux Hôpitaux universitaires de Genève. Le Dr Guido Bondolfi est chargé de cours à la faculté de médecine de l'Université de Genève. Médecin adjoint agrégé aux Hôpitaux univesitaires de Genève. Le Pr Gilles Bertschy est professeur à l'Université de Strasbourg, dhef du service de psychiatrie II aux Hôpitaux universitaires de Strasbourg. Plus d’information ISBN9782889410125 AuteurSoumaille Suzy, Bondolfi Guido, Bertschy Gilles Parution1 déc. 2012 Nombre de pages200 Format12x17 cm CollectionJ'ai envie de comprendre ThèmePsychologie Copyright © 2020 GROUPE MEDECINE & HYGIENE - All rights reserved.
Comment gérer la dépression au quotidien ? Les prémices, des symptômes, les médicaments une madmoiZelle vous raconte tout. — Article publié initialement le 22 novembre 2011 Les prémices la crise d’ado Comme à peu près tout le monde, en quatrième, j’étais mal. Mal dans ma peau, mal dans ma vie. Je passais mes week-ends et mes soirées à lire, les pieds sur le radiateur, face à la fenêtre, emmitouflée dans ma couette comme dans un cocon. Souvent, je restais là , sans rien faire, mon livre dans les mains, pour donner l’illusion à mes parents que j’étais occupée. Mais ce que je regardais, c’était le ciel, gris dans mes souvenirs ou noir pendant la nuit. Je regardais le ciel, et je voulais disparaître. Je ne dis pas que je voulais mourir, bien que l’idée m’ait traversé l’esprit, mais que je n’aie jamais été jusqu’à la mettre en œuvre. Non, je voulais juste… cesser d’exister. Et je me laissais couler peu à peu, au chaud dans mon cocon, recroquevillée aussi à l’intérieur. Au moindre contact humain, avec mes parents ou mes camarades de classe, l’émotion me submergeait envie de pleurer depuis, j’ai dans ma famille la réputation d’être hypersensible », de m’enfuir et surtout, surtout, cette peur terrible, cette angoisse irraisonnée. À lire aussi Comment j’ai appris à accepter mon hypersensibilité Ça a duré environ deux ans. Mon entourage a mis ça sur le compte de la crise d’ado. En vérité, je me rends compte aujourd’hui que j’avais tous les symptômes de la dépression Fatigue et sentiment permanent de n’avoir aucune énergie ni aucune force pour quoi que ce soit Tristesse immense, envahissante Alternance entre périodes d’insomnies et périodes d’excès de sommeil Dévalorisation constante Je ne sers à rien, je suis nulle, personne ne m’aime » Culpabilité à propos de ces émotions C’est vrai, moi j’ai de quoi manger et un endroit où vivre, c’est le syndrome de la pauvre petite fille riche, je n’ai pas le droit de me sentir aussi mal sans raison » Crises d’angoisse Peur permanente de tout Confusion intellectuelle, avec l’impression que mon cerveau avance dans des sables mouvants et la moindre contrariété qui se transforme en problème énorme et insoluble. Bien évidemment, à l’époque, je n’en ai parlé à personne. Principalement à cause de ce sentiment de culpabilité. Ma mère fait partie de ces personnes qui ne se plaignent jamais, ne vont jamais chez le médecin, ne s’écoutent pas. Quand j’étais malade, elle me disait Arrête ton cinéma ». Comment pouvais-je lui parler de mon mal-être ? Elle ne m’aurait pas écoutée, ou se serait moquée de moi. Alors j’ai vécu, ou survécu, comme je pouvais, et finalement, à mon entrée au lycée, j’avais retrouvé le goût de vivre. Ma première dépression sans médicaments En deuxième année de master, je vivais en colocation avec mon frère. La cohabitation était difficile, surtout depuis qu’il avait décidé d’installer sa petite amie à l’appart sans me demander mon avis notons qu’il devait passer dans ma chambre pour aller dans la sienne espace vital de rêve. Le stress des études, le fait de cumuler master, petit boulot et recherche de stage, le fait aussi que mon copain de l’époque habite à l’autre bout de la France… Petit à petit, je me suis laissée couler, et ma bonne vieille meilleure ennemie, la dépression, est revenue me hanter. Comme je m’en aperçois maintenant, c’est l’hiver qui en est le premier déclencheur. Comme tout le monde, je suis sensible à la baisse de lumière, à ces jours qui raccourcissent, à ce froid et à ce ciel gris et maussade Quand le ciel bas et lourd pèse comme un couvercle », c’est pas moi qui l’ai inventé. Peu à peu, la déprime hivernale habituelle s’est changée en dépression. Je dormais en cours. Je pleurais en moyenne cinq fois par jour. Je me souviens du réveillon de Noël de cette année-là j’ai pris le train pour rentrer chez mes parents et j’ai pleuré dans le train, tout le long du trajet, alors que les fêtes de Noël avaient toujours été un plaisir pour moi. En février, c’est à ma gynéco, au Planning Familial une femme exceptionnelle, à l’écoute, je la remercie encore du fond du cœur aujourd’hui que j’en ai parlé, en pleurant à chaudes larmes, moi qui n’étais venue que pour un renouvellement d’ordonnance contraceptive. À lire aussi Sonia Eguavoen et Anthony Agbele, deux sages-femmes féministes qui font DU BIEN ! Elle m’a dirigée vers l’assistante sociale, avec qui j’ai eu quelques rendez-vous. Le médecin que j’ai vu ensuite m’a proposé des médicaments. Mais les antidépresseurs me faisaient et me font toujours très peur produits puissants, peur de devenir dépendante, sentiment d’échec un médicament pour quelque chose qui n’existait que dans ma tête, ça me paraissait idiot. Finalement, après un déménagement, j’ai retrouvé peu à peu un équilibre, sans médicaments. Mais voilà saviez-vous que lorsqu’on a fait une dépression, on est beaucoup plus vulnérable à une autre ? En gros, la dépression est une maladie chronique… Deuxième dépression avec antidépresseurs En décembre 2010, je travaillais pour un directeur dont le comportement était à la limite du harcèlement moral. Ma famille à l’autre bout de la France me manquait. Et c’est là que mon copain de l’époque, pour qui j’avais déménagé loin de ma famille pour trouver du boulot plus près de lui, a décidé de me tromper avec son ex pour qui, je m’en suis rendu compte plus tard, il avait toujours eu des sentiments depuis leur séparation. Trahison, mensonge. Tout s’écroulait autour de moi. Je ne vous fais pas un dessin la dépression est revenue. J’ai démissionné. Je suis retournée vivre chez mes parents. Mais la cohabitation était houleuse je ne me suis jamais aussi bien entendue avec eux que lorsque j’étais à l’autre bout de la France et la dépression s’était cette fois bien installée. À lire aussi 4 signes montrant qu’il est grand temps de quitter le domicile de vos darons Je n’arrivais à faire aucune démarche, ni à chercher du travail. Ma mère ne comprenait pas mon attitude, elle me trouvait paresseuse, pensait que je me la coulais douce » depuis que j’étais revenue à la maison. Bien sûr, elle était inquiète pour moi et essayait de me secouer. Mais elle m’enfonçait chaque fois un peu plus sans le vouloir. Je n’avais pas besoin d’être secouée. J’avais besoin d’être soutenue. J’ai fini par aller voir notre médecin de famille, qui m’a convaincue de prendre des antidépresseurs. Je ne vous dirai pas que ça a été magique. Il faut quelques semaines pour que l’effet des médicaments se fasse sentir. Et à vrai dire, c’est à peine si on le remarque au début. Pas d’oiseaux qui chantent dans la tête, ni de vie en rose. Simplement, au bout d’un certain temps, je me suis rendu compte que je ressassais moins d’idées noires, que j’avais plus d’énergie pour faire ce que j’avais à faire, qu’en entretien d’embauche, j’arrivais à me vendre correctement. En y repensant, c’est comme si on avait appuyé sur le bouton off » de mon émotivité. Ce n’est pas que je ne ressentais plus rien. Mais, là où avant j’aurais pété un câble pour une tasse de café renversée, maintenant, je me levais, je prenais une éponge, et j’essuyais avant de me refaire un café. Avec mon nouveau petit ami, je ne ressentais plus cette jalousie maladive que j’éprouvais auparavant, et qui était en fait une conséquence de la profonde dévalorisation due à l’état dépressif. Il me parlait de ses ex et je l’écoutais calmement en me disant que de toute façon, il était avec moi maintenant. À lire aussi Comment avoir confiance en soi ? — Les conseils des madmoiZelles Je me disais que c’était peut-être ça, d’être normale », sûre de soi. Aujourd’hui encore, je regrette d’être redevenue humaine », avec mes émotions trop fortes. Et c’est justement cette pensée qui me fait peur, car elle s’approche de la dépendance. Les antidépresseurs m’ont aidée à sortir la tête de l’eau, mais ils me font peur parce qu’on peut en devenir dépendant•e. Oui, les antidépresseurs m’ont aidée à sortir de cet état de torpeur, à remonter la pente ou plutôt, car je préfère cette image, à pousser avec les pieds au fond de la mare pour remonter à la surface. Mais ils me font peur, parce qu’ils s’apparentent à une drogue, et qu’on peut en devenir dépendant•e. Quoiqu’il en soit, à la fin de l’été, j’ai commencé à réduire les doses, puis à arrêter complètement, sans problème particulier, ni effet rebond il y a un risque de rechute plus grave si on arrête trop soudainement ce type de médicaments. Je ne fais pas pour autant l’apologie des antidépresseurs. Ils m’ont toujours fait peur, et selon moi, prendre des médicaments est, encore aujourd’hui, un signe de faiblesse et d’échec. Et maintenant ? Ce qui m’a poussée à écrire ce témoignage, c’est ma visite chez le médecin hier soir. Elle est revenue. Et de nouveau, on m’a prescrit des médicaments. Moins forts, certes, mais des médicaments tout de même. Parce que je n’arrivais plus à assurer au travail, parce que j’étais triste en permanence. J’ai voulu prendre les devants, reconnaissant l’haleine fétide de cette poufiasse brumeuse. Mon médecin ne m’a proposé que des médicaments, alors que je recherchais plutôt une aide psychologique, un accompagnement, un coaching pour en sortir définitivement. En sortir définitivement ? Je ne sais même pas si c’est possible. Et maintenant j’ai peur. Peur de mon avenir. Peur de fonder une famille, et d’imposer ça à mes futurs enfants, à mon futur mari. Je le vis comme une fatalité. Peut-être que j’ai tort. Dites-moi que j’ai tort… — Illustrations Timtimsia Témoignez sur Madmoizelle ! Pour témoigner sur Madmoizelle, écrivez-nous à [email protected] On a hâte de vous lire !
Nombre de déprimés auraient préféré se casser une jambe, voire les deux, plutôt que d'affronter les affres de la dépression. Telle une marée noire,... Lire la suite 14,95 € Neuf Définitivement indisponible Nombre de déprimés auraient préféré se casser une jambe, voire les deux, plutôt que d'affronter les affres de la dépression. Telle une marée noire, cette maladie envahit les moindres recoins du corps et de la pensée, jusqu'à immobiliser sa proie et lui ôter toute envie de vivre. Dévastateur. Nous sommes tous, directement ou indirectement, concernés par la dépression. Une femme sur cinq et un homme sur dix sont touchés ou seront touchés un jour par cette maladie redoutable. Près de 15% des personnes souffrant de dépression meurent par suicide. Premier pas pour sortir du tunnel dépressif connaître sa maladie pour mieux la combattre. C'est l'objectif de cet ouvrage, qui se veut pratique et facile à lire. Symptômes, diagnostic, causes, traitements, prévention des rechutes ce livre suit le patient sur le long chemin qui le mène vers la guérison. J'ai envie de comprendre la dépression constitue également une aide pour l'entourage du dépressif en répondant à la difficile question " Comment le soutenir sans l'enfoncer et, surtout, sans sombrer avec lui ? " Savoir reconnaître les symptômesLes mécanismes de la dépressionLes causes de la dépressionInvestigations et diagnosticLes différents types de dépressionLes traitements biologiques de la dépressionLes traitements psychologiques de la dépressionStratégies psychologiques et médicamenteusesLes moyens pour l'aider sans sombrer avec luiAdresses et informations utiles. Date de parution 18/04/2001 Editeur Collection ISBN 2-88049-143-6 EAN 9782880491437 Présentation Broché Nb. de pages 150 pages Poids Kg Dimensions 15,0 cm × 19,5 cm × 1,0 cm Biographie de Suzy Soumaille Journaliste médicale, Suzy Soumaille collabore actuellement à l'hebdomadaire " Construire ". Son précédent ouvrage, paru en 1999 aux mêmes éditions, concernait les allergies. Psychiatre et spécialiste de la dépression, Gilles Bertschy assure la vice direction de la clinique de psychiatrie adulte des Hôpitaux universitaires de Genève.
Non je ne pratique pas d'activitĂ©...Fut un temps j'aurais aimer maitriser le katana...non par pour tuer, c'est une "arme" tellement difficile Ă manipuler pour l'utiliser correctement...enfin bref Disons que l'envie ma paru quand j'ai saisie une hache dans ma main, j'ai eu un flash, ou je tuait toute ma famille...mais ça ma dĂ©gouter...Puis lĂ sa me travail, je sais bien que je le ferais pas, dĂ©jĂ pas sur ma famille... Ensuite, je suis fan de Saw, et j'adore esprit-criminel et enquĂŞte criminel...Je trouvais sympa de savoir comment les gens s'y prenait... je sais que je suis pas de nature impulsif, je n'irais jamais exploser Ă menacer quelqu'un de mort comme ça, je serais stupide...sauf si y'a beaucoup d'antĂ©cĂ©dente avec moi, et qu'un jour y me soul bien... J'en veux Ă moi dĂ©jĂ , ensuite au monde dans lequel je vie, Ă cause de tous les gens qui me soul, qui mente, qui trahis, qui vous insulte dans le dos, qui vous traite comme de la M****...VoilĂ , tous ça, et puis aussi, l’adrĂ©naline de "l'interdit", ensuite J'ai mĂŞme peur d'ĂŞtre cannibale et en plus de ça je suis fan de zombie ... c'est grave docteur ? ... J'aimerais bien me faire "interner" pour prendre du repos, je sais que l'expression Ă l'air farfelu ! Mais j'aime pas la plage, je me sens dĂ©jĂ horrible physiquement, alors la plage ne fait que de me dĂ©primer... En plus de ça, je suis tous le temps frustrer, je n'ai pas de confiance en moi, et j'aimerais bien reprendre confiance en moi, mais je ne sais pas comment...je suis souvent frustrer Ă©chec sentimental, de "carrière" mĂŞme si je suis encore au lycĂ©e, Ă©chec dans un jeu, tous ça...Échec de note, de moyenne scolaire... MĂŞme Ă©chec au code de conduire Et ça me dĂ©prime de plus en plus, j'ai l'impression d'ĂŞtre nul... Alors peut-ĂŞtre qu'au fond j’espère me redonner confiance en fessant un acte mal-sains, que personne ne pourrais approuver et que tous le monde aurait peur...c'est ce que dirais un "profiler"...Alors que je suis en manque affectif... - edit - Et aussi ma seul envie, c'est de me mettre la nĂ©e devant un pc, avec un bon jeu et d'oublier le monde...Et aussi, j'ai peur de l'addiction...MĂŞme si c'est dĂ©jĂ le cas enfin presque... VoilĂ
Nombre de déprimés auraient préféré se casser les deux jambes plutôt que d'affronter les tourments de la dépression. Affection redoutable, le nuage noir de la dépression envahit les moindres recoins de la pensée et du corps, parfois jusqu'à étouffer l'envie de vivre. Au cours de leur vie, une femme sur cinq et un homme sur dix vont en faire la douloureuse expérience. Le poids de la dépression ne cesse d'augmenter, selon l'OMS, elle occupera en 2020 le deuxième rang des maladies avec le taux d'incapacité le plus élevé. Connaître sa maladie est le premier pas pour sortir du tunnel dépressif. Symptômes, diagnostic, traitements, prévention des rechutes. avec ses dix chapitres pratiques et faciles d'accès, ce livre accompagne le patient sur le long chemin qui le mène vers la guérison et l'informe de manière complète, lui permettant ainsi d'être actif dans les soins. Cet ouvrage est aussi une aide pour les proches qui sont en première ligne aux côtés de la personne dépressive. Tiraillés entre l'envie de la réconforter et de la secouer, ils sont guettés par le sentiment d'impuissance et l'épuisement. En s'informant sur sa maladie, l'entourage peut ainsi mieux soutenir le déprimé sur la durée, sans sombrer avec lui. Cette nouvelle édition, entièrement mise à jour, est le premier volume de la série J'ai envie de comprendre...».
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